Organisées sur deux jours à l’Université des Antilles, les Journées de la recherche ont débuté, mardi 17 juin, à Fouillole (Pointe-à-Pitre). La première journée a été consacrée à la thématique de l’eau et de ses enjeux en Guadeloupe.
Les Journées de la recherche au sein de l’Université des Antilles ont été créées pour améliorer les relations entre les chercheurs de l’Université des Antilles entre le pôle Martinique et le pôle Guadeloupe. « L’objectif était de faire connaître aux collègues certains projets qui existent en Europe et qui peuvent faire avancer nos recherches », indique Gisèle Mophou, vice-présidente de la commission Recherche à l’Université des Antilles, pôle Guadeloupe.
Les premières Journées ont permis d’aboutir à différentes collaborations qui ont été présentées lors des secondes Journées de la recherche, qui ont eu lieu l’année dernière. Pour cette troisième édition, l’objectif est de réunir les chercheurs et les étudiants qui assistent aux conférences autour de thématiques majeures pour la Guadeloupe et pour les pôles de recherche de l’Université. Les thèmes retenus ont été l’eau et les aléas climatiques, deux sujets d’importance en Guadeloupe et en Martinique en termes d’actualité et d’enjeux.
Ce mardi, la première journée a été consacrée à l’eau, à la situation de la gestion de l’eau en Guadeloupe avec l’ambition d’expliquer la situation afin de comprendre les différents enjeux autour de sa gestion. Pourquoi l’accès à l’eau est-il un problème en Guadeloupe ? Telle est la question posée à Marcus Agbekodo, ancien directeur du SMGEAG, premier intervenant de la journée.
Mercredi 18 juin, les Journées de la recherche s’attacheront aux aléas climatiques qui touchent notamment la Guadeloupe.
Tafari Tirolien