Guadeloupe. Capesterre Belle-Eau : des mesures prises pour les habitations en péril et les Capesterriens en danger

Les changements climatiques amènent les municipalités à prendre des mesures de protection des populations qui sont dans des zones sensibles.

En présence du directeur de la DEAL, Olivier Kremer, de Camille Dognon, adjoint au maire en charge de l’aménagement du territoire, l’équipe municipale et de techniciens, conduite par Jean-Philippe Courtois, maire de Capesterre Belle-Eau, a effectué une visite des quartiers pour faire le point sur les glissements de terrain, le retrait de la ligne de côte et sur les zones inondables mettant en danger certaines maisons.

« Nous travaillons à des solutions pour sécuriser certaines habitations ou permettre le relogement de certaines familles pour lesquelles le danger serait trop grand », a affirmé Jean-Philippe Courtois à l’issue de cette visite.

En Guadeloupe,17 communes sur 32 sont concernées par des mesures d’urgence à prendre pour sécuriser les quartiers qui sont sur le littoral.

La commune de Petit-Bourg, avec David Nébor, maire, a pris des mesures qui s’imposaient dans le quartier de Bovis-Bélair. Soutenu par le secrétaire général de la préfecture, sous-préfet de la Basse-Terre, Maurice Tubul, il a entrepris un délogement, relogement (non loin de là) des familles en danger.

L’opération est un modèle du genre, comme l’ont souligné les autorités et devrait être répétée dans d’autres communes de l’archipel dans les mois et les années à venir.

En savoir plus :

L’Hebdo Antilles-Guyane, magazine numérique, a consacré son dossier de ce samedi à cette problématique du traitement humain du retrait de la côte liée aux changements climatiques et à l’érosion naturelle. A lire sur hebdoantillesguyane.com

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