Guadeloupe. Décès tragique d’un médecin : les réactions

Un médecin a été tué dans son cabinet. La communauté médicale et des élus ont réagi.

Guy Losbar exprime son immense tristesse

Guy Losbar, président du Conseil départemental de la Guadeloupe, a appris avec une profonde émotion le décès tragique d’un médecin du Centre médico-psychologique du Gosier, violemment
agressé ce jour, alors qu’il exerçait ses fonctions au service des patients.

Le président du Conseil départemental s’associe à la douleur de sa famille, de ses proches, ainsi qu’à celle de l’ensemble de ses collègues, et leur adresse ses plus sincères condoléances.

Profondément bouleversé par ce drame, Guy Losbat tient à exprimer son soutien plein et entier à la communauté médicale et à l’ensemble des professionnels de santé mentale, particulièrement éprouvés.

Il salue leur engagement quotidien, souvent réalisé dans des conditions difficiles, pour
accompagner, soigner et protéger les personnes les plus vulnérables de notre territoire.

Le Conseil départemental assure de sa solidarité l’Établissement public de santé mentale de la Guadeloupe et les équipes du Centre médico-psychologique du Gosier, piliers essentiels du service public de santé mentale.

Dans cette épreuve qui frappe toute la Guadeloupe, le président du Conseil départemental réaffirme l’importance du rôle essentiel des professionnels de santé et de l’engagement de tous ceux qui, chaque jour, œuvrent au bien-être et à la protection de nos concitoyens.

Soutien au personnel

Les socialistes de Guadeloupe expriment leur très vive émotion après la mort violente d’un médecin du Centre médico-psychologique (CMP) du Gosier, poignardé à de multiples reprises sur son lieu de travail.

Ils adressent un message de soutien aux personnels de l’Etablissement public de santé mentale de la Guadeloupe (EPSM-G), en particulier à ceux du CMP du Gosier éprouvés par ce drame qui met en lumière les risques encourus dans l’exercice de leurs missions.

La mort tragique de ce médecin vient effet rappeler la gravité de certaines pathologies présentes dans notre archipel et que doivent prendre en charge des personnels manquant souvent des moyens humains et matériels nécessaires, dans des conditions de sécurité qui méritent à l’évidence d’être renforcées.

Dans ces circonstances douloureuses, les socialistes souhaitent aussi qu’il soit rendu hommage au dévouement de celles et ceux qui oeuvrent à une meilleure prise en charge de ces maux qui pèsent lourdement sur notre société.

Ils présentent à la famille, aux proches et aux collègues du médecin décédé leurs sincères
condoléances.

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