Routhiers a accueilli l’équipe de Jean-Philippe Courtois, la Nouvelle Energie Capesterrienne, hier soir.
Du monde depuis le début de cette tournée dans les quartiers à l’approche de Noël et du Jour de l’an. Et encore plus hier soir, malgré un temps incertain.
De quoi ont-ils parlé ? De poursuivre le beau chemin parcouru depuis six ans. Malgré la crise Covid, les difficultés liées à la conjoncture internationale qui a rejailli sur la nationale, l’équipe municipale a tracé son chemin. Remettre les finances sur de bons rails, soutenu par l’Etat, la Région, le Département, signe que l’équipe est sérieuse et appréciée.
On ne compte plus les visites de ministres — c’est devenu une étape obligatoire — et les signatures de conventions pour faire de Capesterre Belle-Eau, ce qu’elle mérite d’être : une ville clé de l’avenir de la Guadeloupe.
Pourquoi ? Parce qu’elle a du potentiel humain et matériel. Une population industrieuse, une jeunesse qui se cherche et peut trouver dans les projets en cours de réalisation la possibilité de se découvrir et de prospérer, une équipe municipale qui a la volonté d’avancer. Et puis, Capesterre Belle-Eau a un potentiel matériel indéniable : sites patrimoniaux et touristiques, artisanat et petites industries originales.
Tout ceci fait la richesse de cette commune qui n’est plus cette délaissée écartée des voies d’accès par une rocade. Capesterre Belle-Eau ne voit plus, de loin, passer des dizaines de milliers de voitures chaque jour. Grâce à la zone industrielle et commerciale en cours de lotissement, située en bord de nationale, elle sera l’escale obligée de ceux qui, rentrant tard du travail veulent remplir leurs réfrigérateurs, faire un achat de dernière minute…
Elle est, parce que les entrées nord et sud ont été repensées, plus facile d’accès pour les touristes qui veulent découvrir la ville et son bord de mer.
Un jour prochain, elle sera l’accès le plus rapide pour les passagers de Grande et Basse-Terre des vedettes qui vont rallier Marie-Galante depuis le continent. Mais, cela c’est une autre histoire… demain, sans doute. C’est dans les cartons.
