Le changement climatique surprend les populations depuis que le temps s’accélère. Tandis qu’on pensait que les premiers effets visibles, quantifiables, seraient pour 2050, voire plus, désormais il faut s’inquiéter.
Les tempêtes avec leur cortège de pluies abondantes et incessantes, inondent les champs, les routes, les zones où l’homme a bétonné le sol. L’eau monte et impacte les constructions.
Les dégâts sont considérables. Littoraux sinistrés, zones basses à l’intérieur des terres inondées, sols pourris, impropres. L’agriculture est en souffrance.
La mer attaque les littoraux, les tempêtes sont de plus en plus violentes. Conséquence : les zones littorales perdent en surface, gagnant de plus en plus sur les zones hors-eau. Parfois, parce qu’il faut prévoir le pire, il faut déplacer les populations. On l’a vu à Capesterre Belle-Eau et Petit-Bourg, en Guadeloupe, au Prêcheur, en Martinique.
Comment les populations appréhendent-elles ces phénomènes ? Une étude a été menée par des experts, OREC, ADEME, qui l’ont diffusée. Le dossier de L’Hebdo Antilles-Guyane (cliquer sur le lien).
Séphora, jeune pousse du cinéma d’animation
Benjamine des lauréats du concours stArt organisé par le Conseil départemental de la Guadeloupe, Séphora Gaillard-Grenadier(Audiovisuel et Cinéma), 16 ans, est une autodidacte, passionnée par le cinéma d’animation dont elle compte bien faire son métier !
Avec les autres lauréats, elle a assuré la première partie du concert du légendaire groupe de reggae, Steel Pulse, en Guadeloupe, le 14 juillet. Rencontre avec une lycéenne passionnée et motivée dans L’Hebdo Antilles-Guyane (cliquer sur le lien).