L’Université des Antilles a lancé le Bik a syans mercredi 17 décembre dans l’amphithéâtre Meril.
Au cours d’une journée, plusieurs conférences ce sont enchaînées afin de démontrer comment les évolutions scientifiques peuvent permettre le développement et l’amélioration des conditions de vie en Guadeloupe et ailleurs.
« Pour puiser et chercher des richesses l’homme fait de grands trous, pour chercher le pétrole, les diamants et autres ressources », expliquait le docteur Henry Joseph durant sa présentation. Selon lui, il est important de commencer à planter en faisant « des petits trous de la taille de trois phalanges d’un doigt », pour chercher des richesses. Le fondateur de Phyto Bo Kaz est revenu sur son parcours et l’importance des plantes et du vivant pour une économie durable qui sera incontournable dans le futur.
Narcisse Zahibo :
Le docteur Henry Joseph soutien que la Guadeloupe pourrait profiter de l’industrie du bien-être et du changement énergétique mondial annoncé avec le pétrole qui se raréfie. Cela va également affecté l’industrie pharmaceutique en raison de l’existence de certains médicaments qui sont produits à partir du pétrole. Par exemple, le Paracetamol médicament le plus vendu en France.
David Couvin :
Au cours de la journée, ils étaient plusieurs intervenants à se relayer pour présenter différents résultats et analyses dans le thème de la journée de conférences de Bik a syans. Le concept lauréat, a été lancé l’année dernière pour une durée de trois ans, il a l’objectif de mettre en avant les avancées scientifiques et leur importance dans les enjeux d’aujourd’hui.
Des conférences ont été données notamment sur le génome et le fonctionnement du moustique Aedes aegypti, qui transmet des maladies comme la dengue ou le Chikungunya ainsi que sur les possibilités que l’IA peuvent apporter aux médecins et le fonctionnement des intelligences artificielles lors d’une table ronde.
Tafari Tirolien
























