Des réseaux sociaux, malicieusement, se sont moqués du maire du Gosier, Michel Hotin, qui, pour faire entériner la délégation générale dont il a expressément besoin pour gérer la commune, a convoqué quatre conseils municipaux à deux jours d’intervalle. Le contrôle de légalité de la préfecture lui a signifié qu’il n’était pas possible de convoquer des conseils municipaux en rafale… Dans une réponse en forme de communiqué, le maire entend faire la leçon au préfet…
Michel Hotin a vu la décision de lui accorder une délégation générale, lors d’un précédent conseil municipal, retoquée par le tribunal administratif. Les conditions du vote, dénoncées par l’opposition, ont été mises en avant par le magistrat qui a demandé au maire de convoquer un nouveau conseil municipal.
Michel Hotin, commentant cette décision de justice, avait mis en doute le tribunal administratif et son impartialité avec un culot étonnant.
Dans la foulée, il n’a pas convoqué un mais quatre conseils municipaux. Décision que le préfet a contestée, arguments à l’appui.
Que fait le maire ? Il conteste les arguments du contrôle de légalité… et menace le préfet d’en référer en haut lieu. Comme au temps des colonies quand les élus faisaient renvoyer le gouverneur qui leur mettait des bâtons dans les roues.
Michel Hotin, sûr de son bon droit, a fait rédiger un communiqué dans lequel il laisse clairement entendre que Jocelyne Virolan, opposante notoire… aurait influencé le préfet au moment de rédiger son courrier.
Mais, lisons le communIqué de M. Hotin :


C’est à suivre.