L’esclavage au cinéma : la fin d’un tabou ?

Dans ce documentaire, historiens, réalisateurs, producteurs et comédiens tentent d’expliquer l’invisibilité de l’esclavage dans le cinéma français.

Le cinéma, art populaire par excellence, a pour vocation d’être le vecteur parfait pour contribuer à la mémoire collective. Mais en France, rares sont les films à avoir représenté l’esclavage. Dans ce documentaire, historiens, réalisateurs, producteurs et comédiens analysent et tentent d’expliquer l’invisibilité de cette histoire dans le cinéma français.

S’il existe, aux États-Unis, de nombreux films de cinéma qui traitent de la question de l’esclavage, depuis La Case de l’oncle Tom (1903) en passant par Naissance d’une nation (1915) jusqu’à Antebellum (2020), en France, la plupart des spectateurs et téléspectateurs ne peuvent citer qu’un seul long-métrage français sur le sujet : Case Départ (2011). Comment expliquer un tel décalage ? Pourquoi existe-t-il si peu de films en France ? Pourquoi a-t-on tant de mal à représenter cette partie de notre passé ? Peut-on parler d’un « tabou » français ?

A suivre dans Kazadok. Sur Guyane la 1e, mercredi 17 mai, à 20 h 05.

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