Guadeloupe. Un carnaval bref et salutaire

En Guadeloupe, Mercredi des Cendres, « group-a-po », « group-a-mass », groupes à caisses claires, groupes à synthé… ont assuré le spectacle. Une fois de plus.

Akiyo, toujours aussi populaire.

En trois dimanches, voire un peu plus pour ceux qui n’ont pas attendu le coup d’envoi officiel, le 12 février, carnavaliers, spectateurs et marchands ambulants ont rapidement retrouvé leurs habitudes d’avant-Covid.

En Guadeloupe, jusqu’au bout, ni les uns, ni les autres n’auront boudé leur plaisir. La foule des grands jours était massée le long des rues pour la clôture des jours gras, Mercredi des Cendres.

A Pointe-à-Pitre, Klé la a hissé les couleurs.

Défilés populaires

Les groupes, dans toute leur diversité, ont effectué un dernier tour de piste, avant la Mi-Carême… si la « météo sanitaire » le permet ! Une sortie à laquelle le public a pu se mêler aux carnavaliers, en noir et le blanc, couleurs de rigueur, du très chic au très décontracté.

A Basse-Terre, la tradition a été respectée à la lettre avec le « brilé Vaval ». A Pointe-à-Pitre, le « déboulé » du groupe Akiyo a entraîné une marée humaine. Une fois de plus.

Cécilia Larney

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