Sainte-Lucie fête 45 ans d’indépendance

Autour du thème Douvan Ansanm : Construire une nation par l’unité, la résilience et la créativité, Sainte-Lucie célèbre le 45e anniversaire de son indépendance.

C’était le 22 février 1979. Sainte-Lucie accédait à son indépendance. La Commission de l’Organisation des États des Caraïbes orientales (OECO) félicite le gouvernement et le peuple de Sainte-Lucie à l’occasion de son 45e anniversaire d’indépendance.

Cette année, Sainte-Lucie célèbre l’événement sous le thème « Douvan Ansanm : Construire une nation par l’unité, la résilience et la créativité ». La Commission de l’OECO a organisé une cérémonie virtuelle de lever du drapeau.

Philip J. Pierre, Premier ministre de Sainte-Lucie.

« Notre unité fait notre force ! »

Philip J. Pierre, Premier ministre de Sainte-Lucie

« Nous sommes très fiers de notre capacité démontrée à gérer avec succès nos affaires extérieures et intérieures et d’avoir pu travailler en étroite collaboration avec nos pays frères de l’OECO, élargir et approfondir la coopération fonctionnelle entre nous pour le développement global des citoyens de notre sous-région, a indiqué l’honorable Philip J. Pierre, Premier ministre de Sainte-Lucie. Au fil des années, nous avons gouverné notre pays en établissant des relations avec diverses organisations et pays dans le respect de nos valeurs, principes et attentes communs de notre peuple. À cet égard, l’OECO s’est avérée un partenaire de développement inestimable et a joué un rôle central dans le développement de Sainte-Lucie depuis sa création au début des années 1980. L’unité a été la pierre angulaire de notre progrès. Notre unité et notre volonté nationale font notre force. »

Sainte-Lucie profite du 45e anniversaire de son indépendance pour rappeler que le chemin vers sa construction se poursuit.

« Le thème Aller de l’avant ensemble : bâtir une nation par l’unité, la résilience et la créativité n’est pas seulement le reflet de notre parcours actuel, c’est un appel à l’action. Non seulement pour Sainte-Lucie, mais pour l’ensemble de l’OECO et des Caraïbes. Dans un monde où le plus fort a toujours raison et où le pouvoir définit les possibilités, la survie des petits États ne peut être assurée qu’en étant plus forts ensemble. L’avenir de notre nation repose entre nos mains. Avançons ensemble, avec courage et conviction, pour bâtir une nation dont les générations futures seront fières. »

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